L’inquiétude d’Israël, quant à la reconnaissance de l’Etat Palestinien, par la France

IRIB - Le régime sioniste  a exprimé son inquiétude,  quant à la reconnaissance de l’Etat Palestinien, par la France. Le porte-parole du ministre israélien des Affaires étrangères, en exprimant son inquiétude, quant à la reconnaissance d’un Etat Palestinien, dans les frontières de 1967,  par la France, a affirmé: «Cette démarche ne nous conduit pas à notre objectif». Ce responsable israélien a ajouté : "Nous sommes favorables à la poursuite des négociations avec les Palestiniens, mais la formation d’un pays indépendant n’est pas dans notre intérêt". Rappelons que plus de 130 pays ont soutenu le plan de la reconnaissance d’un Etat palestinien, dans les frontières de 1967.

Gaza: quatre Palestiniens, blessés, par les forces israéliennes

Press TV - Pas moins de quatre Palestiniens ont été blessés, dans les attaques, menées, par les forces du régime sioniste, dans la bande de Gaza, d'après les sources hospitalières. Le reporter de Press TV, à Gaza, a fait part, vendredi, des obus de chars lancés par l'armée israélienne contre les régions orientales de Gaza, blessant trois Palestiniens. Un autre civil palestinien a été, par ailleurs, blessé, dans le Nord de Gaza, par les forces israéliennes, selon le même rapport. Les forces du régime sioniste s'en prennent, quotidiennement, à la bande de Gaza, depuis la fin de la guerre de 22 jours, en 2009, attaques, dont l'ONU et l'UE ont demandé l'arrêt. Gaza est bouclé, depuis 2007, par le régime israélien, qui ne permet même pas l'entrée des produits de première nécessité, à destination des habitants assiégés.

Libye: crise humanitaire, à Misrata

IRIB - La ville assiégée de Misrata, en Libye, vit une crise humanitaire. Les forces de Kadhafi ont installé des chars, dans les quartiers du Sud de Misrata, a rapporté, vendredi, la chaîne Al-Alam, ajoutant que tout lien entre Misrata et la capitale, Tripoli, a été, ainsi, rompu,, et que la ville est, pratiquement, assiégée par voie terrestre. Selon d’autres reportages, les francs-tireurs du régime se sont installés sur les toits des hauts bâtiments et tirent sur les opposants. Les affrontements se sont propagés vers les régions situées aux alentours de l’hôpital central de la ville. Le nombre des tués et des blessés augmente chaque jour, davantage, à Misrata, où il y a une pénurie de médicaments et d'équipements médicaux. D'autre part, les forces révolutionnaires ont réussi, vendredi, à prendre le contrôle du passage d'Al-Dahabiya, dans la région frontalière, près de la Tunisie, et à contraindre les mercenaires kadhafistes à s’enfuir vers le territoire tunisien. A noter que le passage d'Al-Dahabiya, dans l’Ouest libyen, est d’une importance stratégique particulière, car il surplombe la région d’Al-Djabal de l’Ouest et la ville de Wazen. Dans le même temps, la télévision libyenne a annoncé la mort de 9 personnes, dans un raid aérien de l’OTAN. Le Président américain, Barack Obama, a autorisé l’utilisation de drones, pour attaquer la Libye. Selon le Secrétaire américain à la Défense, les drones américains ont mené, jeudi, leur première mission, en Libye. A ce propos, l'Amiral Mickael Mullen, chef d'état-major interarmées américain, estime que les opérations contre la Libye ont réduit de 30 à 40% les capacités opérationnelles de la force aérienne américaine. Mick Mullen estime, aussi, que les opérations militaires, en Libye, s’approchent d’une impasse. Toujours, à propos de la guerre en Libye, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a averti que des opérations terrestres pourraient être très dangereuses et avoir des impacts imprévisibles.

Les manifestations anti-américaines, au Pakistan

IRIB - Le peuple de la province de Khaibar Pakhtunkhwa, au Pakistan, a organisé des manifestations anti-américaines. Des centaines de Pakistanais ont manifesté, samedi, en signe de protestation contre les attaques américaines, par drones, contre les zones tribales, dans la ville de Pichavar. En réponse aux raids aériens de Washington, les manifestants ont, également, réclamé la suspension du  processus du transfert, via le Pakistan, des équipements nécessaires aux forces de l’OTAN. Le parlement pakistanais a, pour sa part, insisté, vendredi, sur la nécessité d’arrêter le transfert des équipements nécessaires aux forces de l’OTAN.

Deadly drone raid sparks Pakistan protest

Hundreds gather in Peshawar to stage sit-in after drone attack kills at least 25 people in Hasan Khel. Last Modified: 23 Apr 2011 12:15 Email Print Share Send Feedback

US drone attacks are increasingly becoming a source of anger among Pakistanis [EPA] Protesters angry over a US drone attack that left at least 25 people dead in Pakistan's tribal region of North Waziristan have begun a two-day sit-in near the city of Peshawar. Friday's attack by the unmanned fighter jet hit a compound in Hasan Khel and was the latest in a series of drone attacks to have targeted the region. The sit-in is being organised by opposition politician Imran Khan's Tehreek-e-Insaaf party, said Al Jazeera's correspondent in Peshawar, Kamal Hyder. According to the Pakistani media, the border region has been targeted by at least 20 US drone attacks this year. And since August 2008, there have been over 250 drone attacks that have reportedly killed more than 1,500 people in north and south Waziristan. Our correspondent said "hundreds of suppporters have already turned up early" for the protest. "Most of them are using the shade of any tree they can find, sitting there, waiting for Imran Khan who is said to be travelling in a convoy of several hundred vehicles ...," Hyder said. "Imran has invited all the opposition parties but not invited the ruling coalition - the Pakistan Peoples Party (PPP), the Muttahia Quami Movement (MQM) and Awami National Party (ANP). "It is expected that thousands of supporters will gather here in Peshawar [and] by the time the sun goes down there will be a much larger crowd." The opposition, said our correspondent, have started a new strategy. "They're going to start blocking these roads to make sure that no NATO supplies get through - until the Americans categorically state that they will not violate Pakistan's sovereignty. That, of course, is the demand from the opposition and a large number of people in Pakistan." Army claims victory Meanwhile, Pakistan said on Saturday it had broken the back of anti-government fighters linked to al-Qaeda and the Taliban, according to the head of the military. In a speech on Saturday, General Ashfaq Parvez Kayani said the army had attained major gains in its campaign against the fighters. "In the war against terrorism, our officers and soldiers have made great sacrifices and have achieved tremendous success," he said in a speech to army cadets at Kakul military academy, north of Islamabad, broadcast by state television. "The terrorists' backbone has been broken and Inshallah [God willing] we will soon prevail." The Associated Press said it was unclear on what basis Kayani made his comments as Pakistan is routinely rocked by attacks by al-Qaeda and the Taliban, who hold sway in many tribal regions. Parvez's comments followed criticism from the United States that Pakistan was not doing enough to fight militancy. But in his speech Parvez did not allude to Washington, which said Islamabad lacked a robust plan to defeat the fighters. The US, struggling to put down a 10-year insurgency in Afghanistan, also said Pakistani intelligence agents were maintaining links with Afghan Taliban fighters. Admiral Mike Mullen, the chairman of the US military's joint chiefs of staff, told Pakistani media during a visit this week that continuing ties between agents of Pakistan's Inter-Services Intelligence (ISI) agency and the Haqqani faction, one of the most brutal Afghan Taliban groups, was "at the core" of problems between the two countries. Despite the rising level of rhetoric, both sides have sought to mend their ties as both need each other for their own reasons. Relations between the two countries have been recently strained following the fatal shooting of two Pakistanis by Raymond Davis, a CIA contractor, in the city of Lahore in January. ?

Source: Al Jazeera and agencies

Afghanistan : les manifestations populaires afghanes, en protestation contre les crimes des Al-e- Khalifa et des Al-e Saoud.

IRIB- En signe de protestation contre le massacre du peuple bahreïni, par les forces de sécurité bahreïnies, saoudiennes et émiraties, soutenues par les Etats-Unis, le peuple afghan a manifesté.
Des milliers de citoyens afghans, en organisant des manifestations anti-américaines, ont exprimé leur indignation envers les ingérences des Al-e Saoud, dans la répression des Musulmans bahreïnis, et le soutien de Washington au régime des Al-e Khalifa. Ces manifestants ont affirmé que la politique divisionniste américaine, dans le monde islamique, est vouée à l’échec. Les manifestants, en se rassemblant devant l’Université de Kaboul, ont scandé des slogans dénonçant la destruction des mosquées et l’autodafé du noble Coran, par les forces bahreïnies et saoudiennes, a rapporté Al-Alam. Les protestataires ont, également, réclamé, le départ des forces saoudiennes et émiraties de Bahreïn.

Irak : manifestations anti-américaines

IRIB- Les citoyens irakiens, en organisant des manifestations, ont réclamé le départ immédiat des occupants américains du territoire irakien.
Les Irakiens, en organisant des manifestations, hier, vendredi, sur la place Al-Tahrir de Bagdad, ont rejeté la poursuite de la présence des forces américaines, en 2011, et ont exigé du gouvernement irakien de n’autoriser la présence d’aucune base militaire américaine, sur le sol irakien, d’ici la fin de l’année. Les manifestants irakiens ont condamné les pressions exercées par les Etats-Unis, pour prolonger leur présence, en Irak, et ont demandé la formation d’une armée puissante, bien équipée, pour défendre le territoire irakien. Des milliers d’Irakiens ont, aussi, manifesté, à Mossoul, dans le Nord de l’Irak, en signe de protestation contre les pressions exercées, par Washington, pou prolonger sa présence, sur le territoire irakien.